J'exposerai une partie de mon bestiaire en marbre rouge lors de l'exposition "Marbres de Caunes" organisé par l'association " Les Marbrières de Caunes", jusqu'à la fin décembre 2015.
Portes ouvertes d'ateliers d'artistes à Béziers, vendredi 9 octobre
Dans l’impasse de la Juliane à Béziers, se sont installés des artistes : Vitrailliste (Roccella), ébénistes (Vuala et Milin), sculpteur (Polli), tapissière (Kunst), restauratrice-peintre (Campman), ferronnier d’art (Paubel). A force de se côtoyer, on sait ce que c’est, ils ont développé un fort caractère insulaire, allant jusqu’à baptiser leurs terres « L’îlot de la Juliane », refuge artistique cerné par les eaux troubles du commun.
Depuis 3 ans, une fête est organisée dans l’îlot, la « Nuit de la Juliane ». Cette année, il s’agit de la 4ème édition, au cours de laquelle les occupants des lieux ouvriront leurs ateliers, jusqu’à une heure avancée. Et comme chaque année, des artistes sont invités.
Ce vendredi 9 octobre, j’exposerai donc quelques-unes de mes sculptures avec le photographe Marc Deotte, à partir de 19h.
Venez nous rencontrer ! Le groupe « Acquapazza » entonnera quelques chansons italiennes à partir de 21 h, au fond de l’impasse. Restauration sur place.
Ma terre cuite "Le mangeur d'étoiles" obtient le prix du jury catégorie "Sculpture"
Vendredi soir se tenait le vernissage de la biennale de printemps 2015 de Cabestany, exposition de peintures et de sculptures, au centre Culturel Jean Ferrat. Après un discours engagé de Monsieur le Maire Jean VILA à propos de la commande publique et du marché de l’art, clôturé par une citation de Robespierre (que je ne retranscrirai pas de mémoire, par respect pour l’auteur…) eut lieu la remise des prix du jury et celui du public.
Gros plan sur le métier de fondeur d’art, à travers les statues d'Hubert Mouly et de Jacques Ferri.
Une sculpture en bronze ne se fait jamais en solo, elle est le fruit d’une collaboration entre un sculpteur et des fondeurs. Rien n’est moins facile que de trouver un fondeur, car il doit être compétent, tenir ses délais, ne pas être hors de prix, et supporter les remontrances du sculpteur qui connaît parfaitement sa sculpture, et qui attend avant tout du bronze qu’il soit exactement semblable à l’original, c’est-à-dire qu’il reproduise presque à l’identique ses qualités mais aussi ses défauts. Car, au risque de briser le mythe, de l’atelier du sculpteur ne sortent pas que des modèles parfaits…